TABLEAUTIN SUR L’AUTOMNE
Crépuscule rougeoyant
De froides flammes
Dardées par un soleil blanc
Le vent est ton oriflamme.
Les siècles s’écoulaient
Du pareil au même
En revêtant ton manteau vermeil
Et toujours la nature sa parure perdait
Le matin tes brumes étranges
S’élevaient ainsi que des anges
dont les ailes rêveraient
Soupirs volatils et défaits.
(au château, en automne)
Pascal LAPERROUSAZ
PARIS
Courriel : bdeveloursprod@noos.fr
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