C’était un vieux loup que le sort
Avait plongé dans un silence
Juste émaillé de quelques stances
Des ans nouveaux chantant l’essor
C’était un vieux loup « fulmineur »
Au nom d’une intime croyance
En l’Homme et sa persévérance
À préméditer le Bonheur
C’était un vieux loup qui avait
Troqué ses vastités de chasse
Pour un arpent sur le Parnasse
C’était un vieux loup qui rêvait
Qu’il vous rapportait d’Arcadie
Pour cette année à peine éclose
Dans une cassolette close
La quiddité du Paradis.
Avec nos meilleurs vœux pour 2005
d’Annie et Jean-Paul ORCEL
Dorure et Tableaux anciens
37210 VOUVRAY
Site Internet : www.orcel.net
Jean-Paul ORCEL au Mur de poésie de Tours 2005.
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