LA BORIE
J’ai cherché un gîte original
Par une température hivernale
En Provence, ma douce France
La Borie m’a dit :
Je veux bien être ton abri
Pourtant, tu n’as rien d’un berger
Ni d’un mouton affamé
Mais je t’invite de bon cœur.
Le foin par terre a les senteurs
De la Provence
Oh ma douce France
Combien je regrette
De t’avoir quittée jeunette
Oh ma douce France
Mais la musique tant me plaisait
Que j’ai plié bagage
Pour Vienne, moi la sauvage
D’un lorrain petit village
Pour Vienne, moi la sauvage
Lucette HILLICH
Lorraine expatriée à Vienne (Autriche) depuis 1959, Lucette ILLICH est venue ici pour travailler à l’Ambassade de France. Puis elle était catéchiste au Lycée français. Elle écrit des histoires en allemand et en français et fait de la peinture. |
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