INAUGURATION, le mercredi 10 mars 2004

Discours de Claude-Pierre CHAUVEAU

Je considère que je suis en devoir de réserve dans certaines manifestations mais pour Madame le Docteur Catherine Réault-Crosnier, effectivement elle fait vibrer la bonne corde, l’amitié, et alors forcément je me laisse prendre au piège, mais c’est un piège agréable.

Vous le savez, j’apprécie beaucoup ce que vous faites depuis plusieurs années. Il faut beaucoup d’énergie, de volonté et de sens de l’organisation pour monter un tel « Mur de poésie ». Vous l’avez fait en partant de rien, il faut quand même le rappeler, avec votre seule initiative et celle de votre mari, je crois qu’il ne faut pas oublier Régis Crosnier qui est efficace dans l’ombre toujours mais combien réel et maintenant avec l’aide de votre charmante jeune fille. Mademoiselle, c’est bien que la jeunesse soit également là.

Je crois que c’est une réussite. Nous le devons à vous et je souhaite que ce « Mur de poésie » puisse continuer et s’élever encore plus haut avec de plus en plus de pierres et cela me fait plaisir de voir que de nombreux amis répondent à votre appel et bien bravo à tous.

Continuez car sans la poésie, le monde serait beaucoup trop triste et c’est la raison pour laquelle je suis là régulièrement, parce que je crois que si nous n’avions pas cette part de rêve que vous nous apportez, il nous manquerait quelque chose dans notre vie de tous les jours. Alors bravo à tous.