Ma vie sombre dans un précipice
Au bon goût de pain d’épice
Je chute.
Lentement, inexorablement,
Mais chut !
Je t’aime tellement.
Je sais, je le vois,
J’espère qu’il est aussi profond
Que la passion que j’éprouve pour toi,
Pour toi qui ne vois,
Que le vide de moi
Dans lequel tu t’engouffres.
Écoute mon cœur, il souffre.
Il souffre de savoir
jusqu’où je vais tomber,
Il souffre de désespoir ;
M’as-tu un jour aimé ?
Les paroles et les regards,
Ta tendresse et tes baisers,
Me restent comme espoirs ;
Vas-tu t-en rappeler ?
Je te donne ma chaleur,
Mon corps et mon cœur,
Je veux t’approcher,
T’aimer, te caresser.
Je veux entendre ta voix
Me dire : reviens vers moi.
Je veux entendre ton cœur
Chanter pour séduire mon cœur,
Ce souvenir est un délice,
Ce silence est un supplice,
Ma vie sombre dans un précipice,
Au bon goût de pain d’épice.