La facilité humaine imprègne tes pupilles,
La connexion avec ton Grand sage est faite,
Et pudiquement, ton sens oculaire brille
Soudain, pleure quand apparaît ta défaite.

Ton grand esprit fait du mien son oxymore.
Tu crois et admires choses simples et logiques,
Mes souffrances appellent à grands cris la mort.
Instant magique, tu deviens dramatique.

Ton si doux bonheur passe et tu ne le vois pas,
Mon si tragique malheur reste demeure dans mes pas
Et d'une voix enfantine me susurre : « tu reviendras... ».

N'oublie pas heures passées dans ton natal pays,
J'oublierai l'horreur de toute une enfance ici,
Recommençons et vole vers de nouveaux paradis.