Dans le ciel cette étoile qui brille m'attire,
Tout comme dans tes yeux ce reflet mystérieux,
Qui me plait mais me dérange comme dans ce lieu
Étrange qui reflète tout ce que nous pouvons bâtir.

Cette misérable vie n'a plus d'attrait pour moi,
Car tous les projets que j'ai pu imaginé,
Ce sont en un court instant volatilisés
Sur un de tous les gestes que tu esquissas,
Sans comprendre que tu brisas en un instant
Un des plus merveilleux et agréable rêve,
Qu’il me fut donné d'élaborer sans une trêve,
Mais je suis sûre que tu n'en étais pas conscient
Car tes regards qui font semblant de m'ignorer,
Tous les jours me rendent plus triste encore et me blessent.
Et peu à peu mon cœur se brise de tristesse.
Tu m'as quand même remarqué, ça semble te gêner,
En un mot Antoine tu m'obsèdes et je ne sais,
Ce que veut dire amour et encore moins aimer,
Mais ton visage hante mes pensées et me tourmente.
Tu n'as pas le droit de m'emprisonner vivante.
Excuse-moi si je t'accuse car tu n'as rien fait.
Tout se joue dans mon for intérieur tourmenté.