AU CAPTIF
(…)
Plaintes. Larmes. Hocquets. Soupirs.
Ton angoisse m’étreint le cœur.
Quel cauchemar, quel songe affreux,
Quelle vision hallucinante,
Quelle affreuse torture t’a,
Ô captif, mon frère, inspiré
Ce chant de douleur que ta lyre
Débite en sanglots poignants ?
Extrait de "Les Haleines Sauvages"
AGBOSSAHESSOU
Poète du Bénin
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